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Toute la famille RoseRouge est malade, stop
Ici ca sent le medoc, stop
Seule Dame sensuelle résiste encore, stop
Les microbes ne l'aurons pas, stop
Je repete les microbes ne l'aurons pas, stop
Sa petite princesse est KO, stop
Son homme est touché, stop
C'est l'acatombe, stop
Je file avant d'être "emicrober" à mon tour, stop
J'ai la haine des microbeuuuh... tchoummm
Bisous à tous... ( dire que l'hivert n'est pas encore commencé...)
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samedi
Moi, chef de tribue ! fabriquer arcs à mes ptits sioux! (+ de 50 quand meme ;))
Les bougres ils étaient tout fiers de tirer sur leurs copains les cow boys...
Ma mission accomplie, je m'en vais retrouver ma princesse et son papa...
Il était l'heure de se restaurer
je me voyais deja partir sur mon cheval, avec mon arc et mon armée de petits indiens combatre les sanglier et inviter obelix à notre tablée...
Mon cher et tendre ne voulant pas se retrouver devant la marmite en se samedi soir il nous invita, nous, les deux femmes de sa vie, au restaurant.
Il y avait pleins de gourmands attablés, le gibié préparé par la maitresse des lieux humait bon...
Nous allions nous régler !!!
Ce n'etait pas sans compter sur notre petite princesse qui vint me voir apres avoir chahuté ...
elle me regardait avec ses petits yeux brillants : maman, grand pot !
Je filai tout droit vers les toilettes et deculota mon enfant...
et la paptatra : ce n'etai pas un pipi qui degoulinai partout...
bref
Obliger de laver ma puce dans l'evier, de la secher avec les moyen du bord
Nous dumes laisser notre festin a peine entamer sur notre table...
la princesse couverte de mon pancho, sous le bras de son pere qui s'empresa de galopper pour mettre la puce au chaud...
Une nuit bien agitée suivie... la puce malade... coup de froid ! :(
Le lendemain :
Anniversaire chez notre ami petitaigle : petit sioux adorable qui avait decidé d'inviter tous ses copains cow boys et indiens réunis devant un super "pestacle" de magie !!!!
Les bambins étaient tous joyeux et petitsaigle, bien gaté ! joli souvenir...
Merci à :
La gente dame qui a nettoyer les toilettes que ma fille a repeint d'une couleur chaude et peu banale
merci à la maman du petitaigle pour ce joli moment passé avec toute la tribue des copains.
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Ma fleur préférée,
Rose rouge sensuelle...
Eternelle symbole,
Eternelle idole des amoureux,
La Rose ...
Je vous offre 100 roses, un bouquet d'amour pour tous les amour-eux...
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Sans cesse Aujourd'hui est un jour comme les autres... ou presque
Mon enfance revient en flash... sans cesse... pourquoi aujour'hui ?
je ne sais pas...
Les meme images, d'une meme époque celle ou mes parents étaient encore ensembles... j'avais donc 7-8 ans...
J'entends des musique de l'époque, je me vois faire la star avec son micro et ma petite soeur faisant les choeurs...
Je revois le tableau que mes parents avaient fais pour me premettre de savoir quand ma maman rentrerai " de la maison de repos"...
Je revois la voiture teleguidée avec fil, rouge, que j'ai trouvé un matin sous mon oreiller apres y avoir deposé la veille une dent de lait...
Ma chere et tendre arriere grand mere (ma deuxieme maman) me prenant sur ses genoux pour jouer à "bateau sur l'eau..." ou ni oui ni non...
Je sents l'odeur de medicament d'une huile avec laquelle mon pere me badigonnait les jambes avant de me mettre mes atelles (que je m'empressais de deseré une fois la porte de ma chambre férmée)
Les odeurs de beignet à la pomme que ma chere mamie préparai le mercredi pour le gouter... l'echarpe bleue en laine que je mettai à l'age de ma fille et qui est maintenant accrocher autour du cou de ma princesse d'amour...
Tout viendrai de cette écharppe?... peut etre...
j'aimerai juste une journée repartir à cette époque pour tenir par la main mes deux parents... en meme temps...avec ma soeur à qui ma fille ressemble temps...
meme bouille, meme petite fille, meme echarpe... mais pas la meme époque, pourtant...
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Faites, faites
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Vous souvenez vous de moi ?
Oui comment vous oubliez
Je ne sais comment vous aborder, je suis troublé
Troublé Monsieur, par qui ? Par quoi ?
Votre photo elle demeure dans ma tête, elle pénètre mes sens
Ma photo ? Vous avez gardé ma photo ?
Oui celle où vous portiez avec élégance votre robe rouge
Ah oui ! La robe rouge
Celle que je portais à notre premier rendez vous ?
Oui celle dans la quelle vous m'avez conquis
Vous vous souvenez ?
Comment ne pas s'en souvenir ...
Je vous cherchai dans ce café
Et je me suis arrêté devant cette charmante jeune femme,
Aux longues jambes
J'étais assise, je vous attendais
Je vous ai vu tout de suite
Je n'osais vous approcher
Vous m'avez fait un signe de la main
Ce fut comme un déclic une évidence
Avec ma rose j'avais l'air idiot
Je vous ai souris pour ne pas m'évanouir
Votre sourire, je me souviens de votre sourire, ce sourire
Charmeur, ravageur.
Je vous ai trouvé charmant
Mon coeur n'a fait qu'un tour
Je me suis assis
Vous est offert un verre
Que je n'ai pas pu refusé, j'avoue
"Champagne" vous m'avez dit
Je vous ai laissé parler, je n'avais d'yeux que pour vous
Le champagne m'avait donné envie de danser
Charmé, je vous ai offert une danse
Vos courbes, vos yeux ...
C'était un tango
Un tango endiablé
Sentir votre parfum
La rose
Oui ! Sur mes talons hauts perchés je me suis laissée emporter...
Je crois que le champagne m'a bien aidé
Vous étiez si sensuelle, on ne regardait que vous
Avoir votre main dans la mienne fut magique
J'étais comme transporté, envoûté, ensorcelé par vos yeux
La piste était vide et je sentais tous ses yeux rivés sur nous
Plus rien n'avait d'importance, vous étiez mienne pour une danse
Le temps s'était arrêté
J'aurais voulu que cela dur une éternité
L'effervescence montait, le désir ce faisait plus grand
Après plusieurs heures sur la piste et quelques verres
Je devais rentrer
Gentleman que vous êtes, vous avez proposé
De me raccompagner jusqu'à ma porte
Je n'osais parler, je vous ai fait, un baise main
Oui très agréable, doux, mon cœur battait à la chamade
Je désirais plus que tout monter chez vous, ma courtoisie ne me le
Permettait
j espérais secrètement plus
J'attendais un geste de vous
J'avais si mal au pieds, que vous avez proposé de me porter jusqu'a chez moi
Ce que je me suis empressée d'accepter
Vous m'avez prise dans vos bras
Ce fut un délice, de vous sentir dans mes bras
Mes chaussures dans une main,
J'étais comme une princesse, dans les bras de sont prince
Si élégant et si fort à la fois
Délicatement je vous ai posé, vous avez ouvert la porte
Il faisait noir
Je n'avais qu'une chose en tête
Vous faire chavirer
Vous m'avez proposé un café
Que j'ai tout de suite accepté
Je n'avais qu'une envie, qu'il se passe quelque chose
Je savourais cet instant
Ce moment en votre compagnie
J'étais toute retournée, je ne savais plus quoi penser,
J'étais troublée moi aussi par votre charme
Vous êtes dit vouloir mettre une tenue plus décontractée
En buvant le café et vous dans la salle de bain,
Je n'avais qu'une image en tête celle de votre bouche
Je me souviens quand je suis revenu, votre chemise entre ouverte
Laissait paraître de votre torse,
Vous étiez divine
Dans votre nuisette à demi transparente
Elle était bleue comme mes yeux
D'une élégance
Je n'aurai pas payer cher pour vous retirer tous ces boutons qui restaient accrocher
Mais je ne pouvais, qu'auriez vous pensez de moi
Vous vous êtes assise à côté de moi
Maladroit et troublé
J'ai renversé mon café sur ma chemise
Que vous vous êtes proposé à retirer
Vos mains si douces contre mon torse
Je vous ai embrassé dans le cou
Je n'osai vous approcher trop près...
Mais une attirance trop forte me poussait vers vous
Oui dans le cou
Nos lèvres se sont rencontrées
Puis plus bas
J' ai embrassé vos seins
Vos bras m'enlaçaient
Vous avez souris
J'ai du rougir
J'ai attrapé vos lèvres, caressé vos joues
Prise votre nuque
J'ai caressé vos longs cheveux
Glissé ma main sous votre nuisette
Pour enfin caresser vos cuisses
Je me sentais frémir
Je partais... me laisser envoûté, ne plus penser
Je vous ai basculé sur votre canapé
Juste vous caresser l'entre jambe pour le sentir durcir
Je vous ai laissé languir avant de déboutonné se pantalon de lin
Je l'ai empoigné de chaque coté de vos hanche et lai fait glisser
Dans ma tête, je vous voulais mienne
Mais ne voulais pas trop pressé
Pour ne pas vous froisser
Je vous ai dénudé, parcouru votre corps de ma bouche
On s'est endormi tout deux l'un a contre de l'autre
Le champagne eu raison de moi
Le lendemain je trouvais sur l'oreiller
Un petit mot d votre part me disant....
Qui disait à tout à l'heure
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Merci a Mon cher souvenir... quelle belle rencontre ce fut, A quand la prochaine?
(texte racontant notre si joli rencontre)
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